[Nouvelle] Les deux miroirs

Ce matin j'ai eu une véritable envie d'écrire, d'écrire un de ces textes inutiles qui permettent de nous exprimer et de rêver.
Alors voilà, si vous avez le temps j'aimerais partager ce rêve avec vous. Il est fait d'idée matinale et donc peut être confus et risque de manquer de poésie mais je ne souhaite pas le modifier pour autant, pas pour le moment en tout cas....Une idée brute pour plus tard qui sais ?

o0°La chasseuse de nuage°0o

Je me promenais sans réel but, comme un fantôme, comme d'habitude. C'est ce jour là que j'ai rencontré un rêve que je n'aurais jamais put imaginer avec ma pauvre cervelle d'homme. Je me suis assis longuement sous les pommiers pour mieux regarder, pour imprimer tout ce que je voyais dans ma tête, de peur de me réveiller et d'oublier. Ses cheveux étaient couleur ciel, parsemés de petites étoiles en perles dorés. Elle dansait et virevoltait dans sa robe fleurie, la tête dans les rêves et les pieds sur terre. Elle me souffla qu'elle était une chasseuse de nuages. Les nuages c'étaient très demandés, ça faisaient des matelas et des coussins barba-papas. Elle utilisait un lasso de brins de soleil, il rayonnait autour de la fille ciel qu'elle était dans un halo de lumière étrange, divin. Elle attrapait les nuages. Ma petite sauterelle arrachait des morceaux de ciel. Elle redescendait les nuages en les choisissant avec attention. Le nuage de neige était trop froid, le voile d'été était trop fin. Elle attrapa le nuage d'automne, bien moelleux et doux. Elle prit aussi un nuage de crépuscule, ses couleurs font une magnifique œuvre d'art m'expliqua-t-elle, car les peintres du ciel sont les plus doués de tous, ils ont plus de place pour laisser éclater leur art. Les nuages attrapés flottaient comme des ballons, ils voulaient rejoindre les airs, je n'ai pas osé leur dire qu'ils n'avaient plus aucune chance de chatouiller les étoiles à nouveau. Ils étaient appétissants ces nuages, ils devaient avoir un goût de ciel un goût de liberté à laquelle je rêvais de goûter. La fille ciel m'arrêta, les nuages c'est comme une drogue douce, si on goûte au ciel on ne peut plus s'en passer et on finit par sombrer dans la folie de l’abstinence forcée. Je lui demanda si elle était un ange, elle rigola, d'un rire aussi léger que ses douces proies. Et elle repartit à l'assaut du ciel pour lui arracher encore et encore des morceaux d'éternité. Je me suis endormi avec l'image de ce petit bout de femme dépouillant sans hésitation l'immensité. La pluie m'a réveillé que bien plus tard, pourtant le ciel était bleu océan, la fille ciel l'avait privé de tous ses nuages. Elle n'était plus là, ma fille ciel, mais elle m'avait laissé un cadeau, une preuve que le rêve existe. Un ballon nuages de pluie, car, disait-elle, se sont les plus beaux et les plus réconfortants de tous. Ils pleurent pour toi.

Mon dieu, j'en ai eu les larmes au yeux, tellement ton style d'écriture est magnifique!
Cette petite histoire est écrite à la perfection.
J'aime beaucoup le fait que cette histoire se rapproche des rêves, elle est touchante malgré l'absurdité, et arrive à communiquer des émotions différentes.
Je ne saurais décrire ce que je ressens exactement, mais ce que je sais, c'est que ton texte m'a beaucoup touché ♥

Merci beaucoup Xu =x
Si j'écris c'est pour toucher les gens alors ton commentaire ne peut que me faire plaisir ♥

Et encore une nouvelle, celle-ci est du soir. Je crois que j'ai envi d'écrire en ce moment, j'en suis désolée pour vous.

o0°A la naissance des constellations°0o

C'était l'hiver. Les anges perdaient leur plumes flocons dans un ballet orchestré par le vent. Les flocons tombaient tendrement vers l’accueillante couche de neiges déjà en place. Quand on était flocon il n'était pas bon de tomber en premier, c'était suicidaire. Parmi les flocons il y en avait un en particulier. Oh il n'était pas plus beau ou plus brillant que les autres, pourtant quelque chose le différenciait, ça se voyait à son regard limonade. Il était tombé parmi les derniers, alors que la nuit commençait à chasser les nuages. Le ciel noir finit par dominer tout le plafond de la Terre. Au milieu de cette noirceur même les ombres fuyaient. Il faisait froid et noir toujours noir. On avait beau essayer de la trancher, la nuit revenait toujours au galop pour nous emporter dans son grand manteau. Les flocons se serraient les un contre les autres, pour ne pas avoir froid. Car oui, bien sûr qu'un flocon ça peut avoir froid, comme tout le monde. Pas dans la chair -ou dans la glace- mais au cœur. Ils ne virent pas de suite la douce lumière arriver. C'était comme un ballon de roche serti de luciole, ça brillait haut dans le ciel en dérobant à la nuit toute son horreur. Le petit flocon yeux limonade contempla avec émerveillement la nouvelle venue. Il en avait entendu parler dans les confins des nuages à neige. C'était la lune, enfin Mlle Lune, celle-ci était assez susceptible. Ses grands yeux bordés de cils de nuit surveillaient avec une sagesse parsemée d'orgueil le petit monde qu'elle éclairait de toute sa beauté. Le petit flocon ne savait que faire pour attirer l'attention de la dame de la nuit, elle était très courtisée. Alors il se mit à vibrer sous l’impulsion chaude et suave de l'amour qui montait, il clochetait de ses bouts de glaçons dans une symphonie d'amoureux transis. Mlle Lune, lassée de son travail d'endormie fût émerveillée de ce doux son, il changé des souffles amers de l'air, celui-ci avait mauvaise haleine, on encore de la mélodie lassante de la pluie. Durant plusieurs nuits les deux amoureux se regardèrent en silence, Mlle Lune aussi avait les yeux limonade désormais. Le petit flocon, s'entend son petit corps glaçon fondre en cédant au lourd poids de l'amour décida qu'il était temps de rejoindre la belle, de se lover dans son croissant de grâce et de glisser le long de ses long cils de nuit. L'aube, puis le matin, l'après-midi et enfin le crépuscule, Mlle Lune n'allait pas tarder, elle était très ponctuelle. Le petite flocon, aidé de la brise hivernale, s'éleva alors haut, haut, encore plus haut. Il voyait se dessiner dans le ciel les courbes voluptueuses de sa Mlle. Son sucre rayonnant commençait à éclairer la nuit . Plus vite plus vite ! Le petit flocon montai comme une fusée d'amour glacé tant et si bien qu'il fondu. Mort en allant rejoindre sa belle. Mlle Lune n'avait pas suivi la scène du tréfonds de son sommeil de gardienne. Elle chercha encore et toujours son petit flocon de joie. Au bout de plusieurs nuits elle se mit à pleurer, vous savez ces larmes d'amour lourdes et très salées, celles qui piquent sur leur passage. Du coin de ses yeux embrumés naissaient des milliers de larmes brillantes et scintillant mille-feux. Elles glissaient de ces yeux limonade pour piquer ses joue avant de tomber lourdement. Elles étaient tellement lourdes que les nuages refusèrent de les laisser passer. En s'écrasant sur terre elles auraient tué de nombreux flocons, même si aux yeux de Mlle Lune ils ne valaient rien -leurs yeux n'étaient pas limonade et leurs voix glaçon restaient muettes- il était hors de question de les laisser passer. Alors les larmes rebondirent sur les nuages élastiques pour aller se fixer dans l'obscurité du ciel, l'ombre leur collé à la peau et elles se retrouvèrent accrocher au côté de leur Mlle épleurée. Depuis ce jour beaucoup d'entre nous souris en regardant les étoiles, c'est sûrement que les cons qu'ils sont ne connaissent pas leur histoire...

...
Encore une superbe histoire Zorha, du début jusqu'a la fin tu nous emporte dans un petit monde.. Je me posais au début la question, à savoir ou nous emmènes tu avec tes constellations? Et la je suis carrément surprise de ton imagination, tu m'emportes loin jusqu'a leur naissance...
Et du coup je me sens con en regardant les étoiles, parce que Mlle, pleure encore peut être la haut...

J'en reste sans voix! ♥
Cette histoire est une fois de plus magnifique et les textes sont tellement bien!
Et puis tu créés un univers tout à fait magnifique qui me plait énormément!
Encore une fois je suis très émue!
Bravo ;)
J'espère que tu vas continuer à écrire des nouvelles et qu'un jour, tu pourras les publier! Tu le mérite ♥

Merci beaucoup les filles, je suis si heureuse de vous transporter dans mon univers et que cela vous plaise !
Publiée ? Ce serait un tel bonheur **

Voici une histoire du soir, de hier soir en fait. Elle doit être farcie de faute mais je la poste vite vite avant de ne plus avoir internet. J'éditerais dès que possible >////<

o0°Les deux miroirs°0o

Commençons cette histoire par il était une fois, un « il était une fois » de conte de fée. Pourtant cette histoire n'est pas forcement belle, loin de là. Elle est assez étrange à bien y réfléchir mais j'ai quand même envie de vous la faire partager. Elle me plaît cette histoire, elle fait voyager surtout, voyager loin, très loin, trop loin.

Cette histoire, elle commence dans une petite ville quelconque, peut importe son nom il ne sera pas utile pour la suite. Dans cette ville vivaient des gens comme les autres. Des gens effrayés, tortueux, envieux, qui essayaient de se contenter de morceaux de vie. Pourtant parmi ces gens inintéressants vivait une jeune fille rêveuse. Elle se détachait de la masse noir par ses couleurs et son sourire chatoyant. Pourtant personne ne faisait attention à elle, personne n'essayait de découvrir les trésors qu'elle possédait dans son imaginaire. Ce n'était pas très bon d'être différent, alors les gens se contentaient de l'ignorer. Ils devaient juste avoir peur. Car cette jeune fille avait un pouvoir incroyable, celui de l'imagination. Une imagination débordante qui faisait vivre les livres et s'animer les fleurs. Cette jeune fille, qui s'appelait Céleste, adorait lire sous les branches protectrices du grand saule pleureur qui peuplait une prairie voisine à la ville. Elle allait souvent là-bas, pour respirer un peu, pour se libérer surtout. Se libérer de toutes les chaînes dont on l'entourait à coup de « tu dois ». Alors elle, elle se bouchait les oreilles et fuyait aussi vite que le vent pour retourner dans sa bulle, dans son petit monde que l'on s’efforçait de briser. On avait réussi d'ailleurs, à le détruire, plus d'une fois, mais Céleste le reconstruisait toujours avec patience et amour. Au pied du grand saule il y avait une mare où nageaient des grenouilles. Il y en avait une incroyable qui chantait comme une folle toute la journée. Sa voix un peu roque berçait notre demoiselle et l'endormait même parfois. Un jour de printemps, alors que le pollen portait par la brise venait chatouiller les oiseaux et que les fleurs se préparaient pour le défilé de leur courte vie, Céleste s'installa comme à son habitude sous le grand saule. Elle aimait caresser son écorce toute dure et vieillie, elle avait l'impression d'y voir des visages, des sourires, toutes ces choses qui lui manquaient dans dans sa ville de noirceur. Elle venait de se baigner dans la mare, la noirceur justement ça a tendance à coller à la peau et à s’emmêler dans les cheveux, elle voulait être présentable avant de profiter de l'ombre de l'arbre. Elle avait entre ses mains un livre merveilleux intitulé « Contes pour une grenouille en gélatine » qui regroupait des histoires de rêves. Portée par le flot de mots et le chant de la jolie grenouille la demoiselle finit par s'endormir doucement... Elle fut vite réveillée par une voix qu'elle connaissait bien.
-Hey debout là-dedans, debout vite vite !
La voix se faisait pressante, presque affolée. Céleste ouvrit les yeux avec lenteur, la fatigue lui pendait au paupière comme du plomb. Elle regarda en direction de la voix et reconnu la grenouille chanteuse.
-Vite si ils te trouvent ils vont te cueillir ! Reprit l’amphibien mélomane.
Céleste rigola avec douceur
-Mais enfin je ne suis pas une plante, comment veux-tu que l'on me cueille ?
La grenouille la regarda avec insistance.
-Peut importe ce que tu es à l'intérieur, seule l'apparence compte dans nos mondes. Et même si tu n'es pas une fleur tu en a la parfaite physionomie. Dépêches toi enfin !
Céleste regarda alors plus attentivement ce qui l'entourait. Le ciel était devenu une véritable œuvre d'art. Les nuages, multicolores, flottaient dans le ciel bleu azur avec une grâce de danseuse. L'herbe, d'un joli bleu, ondulée doucement sous le vent. La demoiselle était émerveillée, « on se croirait à la mer ! » Se dit-elle. Elle se dirigea alors vers la mare, devenu noire et brillante, comme un miroir trop longtemps oublié. Céleste découvrit avec émerveillement sa nouvelle tête. Des yeux vert où coulait de la sève dorée au fil des battements de son cœur. Un cœur qu'elle découvrit plein de mécaniques étranges, aussi complexes que les sentiments qu'elles créaient. Mais surtout elle découvrit la ribambelle de fleurs et de plantes qui coulait doucement le long de sa tête, remplaçant une chevelure autrefois terne. Des roses, des pensées, des iris, du thin, c'était une explosion sourde d'espèces et de couleurs qui animaient désormais ses pensées. Après quelques minutes de bonheur indescriptible la jeune plante suivit les conseil de la chanteuse de grenouille et partit le long du chemin qui autrefois menait à la ville.

Elle se croyait dans Alice au pays des merveilles, elle voyait le miroir de jadis, de maintenant ou qui sait de plus tard ? Elle se promenait dans des sentiers étrangement connus, redécouvrant le monde tel qu'elle avait toujours voulu le voir. Elle ne croisa personne mais parla a plusieurs animaux. Un cheval bleu avec la crinière tressée de laine multicolore, une famille de lapins en chocolat. Elle rencontra même son propre chat avec qui elle discuta longuement de la vie et de son sens. Mais plus elle avançait plus l'envi de revenir dans son monde la tenaillait. Ses fleurs qu'elle trouvait si belles attiraient des insectes qui l'embêtaient beaucoup à vouloir déguster ses pensées pollens. Elle arriva à la porte d'un immense château en meringue. Un soldat habillé d'une manière for jolie marcha vers elle en soulevant les dentelles qui l'embellissaient. Il voulait savoir si elle faisait parti des gens qui mangeaient le château. Céleste le regarda éberluée, manger le château ? Quelle drôle d'idée. Le garde la laissa donc passer avant de reprendre sa ronde.

Elle avança dans le château aux murs guimauves pour arriver dans la salle du trône. Là une belle dame se tenait, droite et fière, elle avait l'air importante. Céleste s'inclina devant elle et demanda une audience, le dame la lui accorda immédiatement.
-Où suis-je demanda Céleste ?
-Peut importe où tu es du moment que tu t'y plaît. Tu ne te plaît pas ici ? Répondit la dames aux questions.
-Je ne sais pas, je n'ai vu personne à part des animaux qui parlent et des insectes agaçants.
-As tu seulement envie de voir quelqu'un ?
-Je commence à m'ennuyer à n'avoir rien à lire.
-De quel ennuie te plaints tu, toi qui es au milieu du plus grand imaginarium pouvant exister ?
-Un imaginarium vous dites ? Comment dois-je faire pour rentrer chez moi ?
-Es-tu sûre de vouloir rentrer jeune Bouquet ? Aucun retour ne sera possible, on ne peut plus revenir une fois parti, on disparaît pour toujours du miroir.
-Mais j'ai peur.
-Qu'est-ce que la peur ?
-Sûrement un monstre que se cache dans ma tête pour ne pas que je puisse avancer.
-Soit. Pourquoi veux-tu rentrer ?
-Je me lasse de vos questions qui n'apportent aucunes réponses. Une question sans réponse n'a pas lieu d'être !
-Dans ce cas là qu'elle est la réponse à la question que tu es ?
-Je ne sais pas
-Dans ce cas tu n'a pas lieu d'être.
Céleste s'éloigna du trône, la dame commençait à l'ennuyer. Elle devait trouver un moyen de retourner de son côté du miroir.

En sortant elle recroisa la grenouille chanteuse. Celle-ci était en pleine représentation. Bouquet, qui désormais se nommait comme ça (la dame décidait de ce genre de chose) applaudit la cantatrice avant de interrompre.
-Mais enfin, où suis-je ?
-De l'autre côté du miroir.
-Comment retourner chez moi ?
-En le retraversant tout simplement. Mais fait attention à toi, entre les deux complémentaires il y a un gouffre noir et vide ou plus rien ne pense et plus rien ne vit. Lors de la traversée tu risques de te retrouver piégée.
La jeune fille aquieçat avant de reprendre sa route vers la mare noirâtre. Ses fleurs de pensées tournaient à plein régime et libéraient une douce odeur sucrée mêlée à un peu de cramé. Elle avait été heureuse de goûter à l'imaginaire mais, même si elle ne l'aimait pas, elle voulait retourner de son côté à elle. Elle ne savait pas qui elle était, ni pourquoi elle se sentait différente, mais elle avait l'impression d'être une étrangère ici. Dans son monde c'était juste une inconnue.

Elle arriva au bord de la mare et, sans réfléchir, y plongeât. Elle senti la noirceur de la ville revenir lui coller à la peau, l'engourdir et l'attirer vers le fond, encore et encore. Elle plongeait vers une abîme inconnue, elle avait peur. Le premier voyage avait était si doux et serein. Elle serra les dents pour se donner du courage . Elle avait les yeux clos, elle savait qu'elle était entourée de noir, la grenouille lui avait dit. Elle essaya de se libérer de ces chaînes qu'elle arrivait si souvent à fuir auparavant mais rien n'y fit elle tombait encore et encore dans un gouffre sans fond. Au bout d'une lutte inutile elle se laissa tomber sans réagir. Elle finit par s'endormir, apaisée, un voile d'éternité dans le fond des yeux.

Quelques jours plus tard, dans la verte herbe du printemps naissant,on découvrit le corps d'une jeune fille inanimée. A l'ombre du grand saule elle semblait étrangement détendue. A ses cheveux c'étaient doucement mêlées les fleurs transportées par le vent. Elle ressemblait à une plante qui avait un peu trop rêvée. Des centaines de petites fleurs jonchaient le sol près d'elle, un cadavre fleuris parmi des cadavres de fleurs, c'était beau. On l'enterra le lendemain.

A vouloir trop rêver elle c'est perdue, perdue dans l’abîme tortueux de l'esprit humain. Elle n'était pas faite pour ce monde, non, pas faite pour ces épreuves. Quand elle a découvert que la réalité ne serait jamais aussi belle que le rêve elle a tout simplement abandonné.

Encore une magnifique nouvelle!
Je me suis reconnu en ce personnage fascinant de Céleste. Cette volonté de vivre dans un rêve, car le monde réel, terne, ne peut égaler, mais que finalement, nous sommes condamner à vivre dans la banalité et la souffrance est une philosophie que je partage.
Continue à écrire de jolie nouvelles, je serais toujours là pour prendre plaisir à les lire!
Merci ♥

J'ai lu "Les deux miroirs". Et puis, je me suis dit que j'en voulais plus, alors j'ai lu tes deux autres histoires d'avant ! Hanlala, Zorha. Tu as énormément de talent ! Tu le sais ça, hein ? :) J'ai l'impression que tout ce que tu entreprends ressort parfaitement bien fait ! Je t'admire, voilà tout *w*. j'aimerais avoir autant d'imagination que toi :3. D'ailleurs, tes histoires me donnent envie d'écrire! D'ailleurs, pour en revenir à tes nouvelles, j'adore ta façon d'écrire ! Tout en détail, j'ai l'impression d'y être et même d'être à la place du personnage ! Tes histoires touchent et font rêver. Merci pour ce bon moment que j'ai passé à lire tes histoires et j'ai hâte de découvrir les suivantes ! Ne t'arrête pas d'écrire, surtout. Bravo <3
Allez, moi je m'en vais faire de beaux rêves grâce à toi :)

» [Fan-Fiction] Deux moldues à Poudlard... L'Enfer existe!